Après la guerre de 1914, les jeunes refusent d'être domestique : un travail trop dur et surtout le mépris qui est devenu insupportable.
Après la guerre de 1914, les jeunes refusent d'être domestique : un travail trop dur et surtout le mépris qui est devenu insupportable.
Chez le bourgeois, le travail de la bonne change, et devient de plus en plus dur. La journée de travail s’allonge, avec le recul de l’heure du dîner.
La pénible condition de travail se double d'une névrose ou d'une solitude particulièrement difficile à vivre pour le domestique
Que l’on imagine ce que représente le travail dans une maison sans chauffage central en corvée de bois et de charbon, la cuisine, la lessive etc...
Entré pour servir, le domestique doit être constamment disponible. La journée de travail est longue : de 15 à 18 heures
La bonne à tout faire doit être levée à 6 heures, allumer le poêle, préparer les petits déjeuners, préparer le déjeuner, mettre le couvert, servir à table etc...
Les bulldozers interviennent, des pans entiers du Mur de Berlin s’effondrent. La nuit tombée n’arrête rien. D’énormes foules passent à l’Ouest
L’ingéniosité des évadés de Berlin-Est ne connaît pas de limite entre 1962 et 1964