Question ...

A la tête d’une armée populaire de 800 000 hommes, cet homme, après des combats acharnés contre l’armée allemande, sans intervention directe de l’URSS ni de l’Occident, libéra la presque totalité de la Yougoslavie.

Réponse ...

Le 7 novembre 1942, sous son commandement, l’opération Torch est déclenchée. Il s’agit pour les Anglo-Américains d’occuper les colonies françaises d’Afrique du Nord.

Réponse ...

A Yalta (février 1945), il obtint de Staline la promesse d’une intervention armée soviétique contre le Japon mais rejeta toute idée d’expansion soviétique ou communiste en Europe. Aux élections de 1944, il fut réelu pour la 4eme fois à la présidence mais mourut quelques mois plus tard, à la veille de la victoire.

Réponse ...

Cet homme singulier à de bonnes raisons de connaître personnellement tous les ministres qui siègent au cabinet de guerre anglais à l’été de 1940, il a été tour à tour leur supérieur, leur collègue, leur allié, leur détracteur, leur tête de Turc, leur inquisiteur ou leur conseiller… et souvent même tout cela à la fois !

Réponse ...

Mis à la tête des forces du Pacifique Sud-Ouest, puis de toutes les forces alliées du Pacifique (1945), il joue un rôle capital dans la victoire contre le Japon où, après la capitulation, il commande pendant cinq ans les troupes d’occupation.

Réponse ...

Nommé chef de la VIIIe armée en Egypte en septembre 1942, il réussit à vaincre l’offensive de Rommel en gagnant la bataille d’El-Alamein (octobre 1942).

Réponse ...

Sa difficulté à maîtriser ses émotions aurait pu lui coûter sa carrière : en Sicile, il gifle un soldat blessé en le traitant de simulateur.

Réponse ...

C’est en effet ce ministre des Affaires étrangères de sa Majesté qui interviendra in extremis à plusieurs reprises pour prévenir l’irréparable, en démontrant à Churchill qu’il est politiquement impossible de rompre avec le Général de Gaulle.

Réponse ...

En 1943, il part pour la Tunisie sous les ordres de Patton, s’empare de Bizerte, dernier refuge de L’afrika Korps, puis débarque en Sicile.

Réponse ...

Cet amiral anglais avait envoyé le commandant Holland auprès des Français (à Mers El Kébir) pour leur dire que leurs bateaux seraient coulés s’ils ne se mettaient pas du côté des anglais ou si les bâtiments n’étaient pas conduits dans un port des Antilles pour être désarmés ou placés sous contrôle américain pour la durée des hostilités.

Réponse ...