Pour tromper l’ennui les hommes se raccrochent à des plaisirs simples : manger,
boire, fumer.
Malgré le rationnement qui sévit surtout durant
l’année 1917, le poilu ne meurt pas de faim. Pommes de terre,
pâtes, riz, fayots et viande constituent la base de son alimentation. Délicate mission que celle des hommes de soupe en
charge du ravitaillement de leurs camarades.